Marcos Morau
Marcos Morau a étudié la chorégraphie à l’Institut du Théâtrede Barcelone, au Conservatorio Superior de Danza de Valencia et à Movement Researchde New York, où il a obtenu la plus haute note pour son projet de fin d’études ainsi qu’un prix de l’Institut del Teatre. Il a été assistant au Nederlands Dans Theater II, et pour la compagnie barcelonaise IT Dansa. Il a également étudié la photographie et détient une Maîtrise en théâtre. En 2005, il crée La Veronal, une compagnie regroupant des artistes des champs de la danse, du cinéma, de la photographie et de la littérature. En plus de diriger sa propre compagnie, il a également créé des pièces pour laNational Dance Company of Spain, Scapino Ballet Rotterdam, Skånes Dansteater, Göteborg Operans Danskompani, Ballet de Lorraine et Carte Blanche-Norwegian National Company of Contemporary Dance, le Ballet de l’Opéra de Lyon …Plus jeune artiste à recevoir le Prix national de la danse en Espagne, Marcos Morau développe un langage qui est l’héritage du mouvement abstrait et du théâtre physique. Un langage corporel puissant basé sur l’anéantissement de toute logique organique qui dissèque le mouvement et le transforme en une identité unique.
Marcos Morau a également reçu le prix FAD Sebastià Gasch, décerné par la FAD Foundation for Arts & Design, et le prix TimeOut du meilleur créateur. il a remporté des prix dans de nombreux concours de création chorégraphique nationaux et internationaux tels que le Concours chorégraphique international de Hanovre, Concours chorégraphique de Copenhague, Madrid et Masdanza.Ses dernières créations tournent dans toute l’Europe et après avoir créé sa version de La Belle au Bois Dormant pour le ballet de l’Opéra de Lyon, Marcos Morau s’attaquera au Sacre du Printemps pour le Ballet de Dusseldorf en avril 2023. A Genève, on a pu voir un extrait de sa pièce Valse dansé par le Ballet Junior de Genève lors des MIX 25 et 27; sa compagnie La Veronal a été accueillie avec Sonoma puis Opening Night par la Bâtie – Festival de Genève.
Photo : © Albert Pons